À l'harmonie amoureuse qui régnait dans la peinture originale succède ici une interprétation tout à fait différente. Dans ce conte de quelques secondes - vu à ce jour par plus de deux millions de personnes -, Sheidlina libère de leur cocon doré les personnages de Klimt pour les faire éclore dans son univers onirique, où seule la figure féminine subsiste. Dénouement tragique? Dans le post instagram accompagnant la vidéo, l'artiste décrit plutôt un happy end : "Love is Freedom. Love is Peace. Love is Nature".